Interview par L. Froidure

Explication sur les 5 éléments et sur le Yin/Yang

Un peu d’histoire :

Afin d’aborder ces concepts, il faut ,avant tout, se replacer dans le contexte millénaire de la Chine.

L’énergétique traditionnelle chinoise mais aussi la médecine traditionnelle chinoise sont composés de plusieurs disciplines telles que : l’acupuncture, la nutrithérapie chinois, la pharmacopée chinoise et la gymnastique douce (tae tchi, tchi gong).

Cette culture, que l’on considère trop souvent comme croyances, est basée sur une somme d’expérimentations et de constatations pragmatiques et reproductibles.

Pour exemple, le Tae Tchi Chuan, comme son nom l’indique est une boxe, un art martial (Chuan). Textuellement cela correspond à : Boxe de la Grande (Suprême) Energie. A cette lecture on comprend que cette discipline était réservée à la garde impériale de l’empereur…

Autre exemple : un condamné à mort dans la chine antique n’avait aucune valeur (morale ou physique). Il y eut donc une utilisation de nombreux prisonniers comme valeur scientifique expérimentale.

Comprenez autant découvrir l’anatomie et joindre l’utile au scientifique !!!

On retrouve des planches anatomiques très détaillées en Asie bien avant le 16ème siècle en Europe.

Le dogme et la doctrine :

Plusieurs théories énergétiques se sont succédées au cours des âges. On en retiendra principalement 2 : le Yin / Yang et les 5 éléments (ou 5 transformations). Il faut comprendre que ces croyances ou doctrines sont en fait une façon mnémotechnique de retenir certains concepts basés sur l’expérimentation et transmis à travers le temps. En gros une récitation qui permet de remettre le corps et l’esprit dans une chronobiologie propre à son homéostasie.

Le Yin/Yang, unicité et dualité :

yin yang

Ce symbole représente une unité indissociable que l’on peut extrapoler de la cellule à l’univers. Il est mouvement et il est transformation. Rien n’est donc à jamais figé. Comme le dirait Lavoisier « …tout se transforme !!! »

Ces 2 parties symbolisent le passif et l’actif. Pour survivre à une famine il faut des réserves… ou pour qu’un sportif soit performant il lui faut des réserves…

Les prêtres jésuites qui furent envoyés en Chine reproduire ce symbole en noir et blanc. Or le rouge, le Yin fait référence au sang. Essayer de vivre sans une goutte de sang paraît stupide. Et c’est bien cette évidence qui est mis en lumière dans cette image.

De même, la partie blanche incarne l’énergie… cette notion peut nous paraître curieuse ou abstraite. Si vous faites régulièrement du sport (ou même épisodiquement), vous avez 2 types de fatigues.

  • Une fatigue physique ; vos muscles vous font mal

  • Une fatigue énergétique ; « je voudrai bien mais je peux point, j’ai plus de jus »

Dans cette notion de « jus », le corps n’a subit aucun dégât mais il est fatigué, sans force et a besoin de repos. C’est çà le concept d’énergie du corps humain…

Les 5 éléments ou 5 transformations :

Sont une évolution, une recherche plus approfondie de la théorie du Yin/Yang.

Par son évolution et son expérimentation, la pensée énergétique chinoise se base sur :l’interrogatoire, l’observation, la palpation et la prise de pouls. Il en découle une déduction qui s’exprime par la théorie des 5 éléments.

L’eau diluvienne engendre le bois, qui lui même nourrit le feu, puis s’épand dans la terre, pour être elle-même source de métal(aux).

Traduction : Les reins (eau) filtrent le sang veineux qui après passage par le foie (bois) arrive au cœur (feu). Puis par stimulation de la rate (terre) redonne (recycle) du sang qui sera oxygéné par le poumon (métal).

Ndl : L’ordre physiologique n’est pas parfait certes mais cette théorie à plus de 800 ans… Et pour les puristes qui fera la judicieuse remarque que le sang va s’oxygéner du cœur au poumon, il ne faut pas oublier l’axe de contrôle et de rétroaction feu/métal ou cœur/poumon décrit dans le cycle « Ko ».

Définition : 

Les menstruations, appelée aussi « règles » sont les pertes de sang correspondant à l’élimination spontanée de la muqueuse utérine qui est présente à chaque ovulation pour recevoir un éventuel ovule fécondé.

Un cycle dure en moyenne entre 4 et 5 jours, mais est très variable selon les femmes. Le temps entre chaque période de règles est normalement de 28 jours.

Ce qu’on appel « problèmes menstruels » sont les menstruations qui diffèrent de la normale. Cela peut se présenter de différentes manières, comme par exemple : la fréquence des saignements, la durée des règles, l’intensité (trop ou pas assez abondant), ou encore différentes combinaison de ces éléments.

Quelques indication sur les différents troubles : 

  • La fréquence des saignements :

Une durée trop courte entre chaque cycle (moins de 25 jours), est appelé : polyménorrhée

Un temps trop long (plus de 35 jours) : oligoménorrhée

Il peut aussi y avoir des saignement entre deux cycle : métorragie

Des saignements au moment de l’ovulation : métorragie d’ovulation

Une absence de règles : aménorrhée

Des saignement post-menstruel, ce sont des saignements qui arrivent en général un ou deux jours après les règles, et dure 1 journée. Même chose en inversement : des saignement quelques jours avant les « vraies » règles.

  • Intensité des règles :

Règles très abondantes : hyperménorrhée

Règles très faibles : hypoménorrhée

  • La durée des règles

Règles trop longues (plus de 6 jours)  : ménorragie

Règles trop brèves (moins de 3 jours) :

Causes : 

Différents facteurs peuvent rentrer en compte dans les différents dérèglements menstruels, voici quelques exemples :

  • Troubles hormonaux
  • prise de médicaments (souvent la pilule ou autres produits hormonales: le stérilet ou l’implant par exemple)
  • Le stress
  • la puberté ou la ménopause
  • anorexie ou surpoids important
  • maladie auto-immune
  • la muqueuse utérine présente un anomalie de régénération
  • maladie des ovaires ou cancers de la muqueuse utérine
  • complication de début de grossesse

Causes et conséquences : 

  • En cas de règles trop abondante:

    ce problème est souvent lié à un dérèglement hormonale qui ne peut être expliqué, on peut souvent voir en lien avec ce dérèglement, la venue des règles de manières irrégulières (tous les 28 jours, puis toutes les 3 semaines pour revenir à la normale : tous les 28 jours). Lorsque le médecin ne trouve pas de dérèglement hormonale a ce problème d’autre causes sont possibles : la possibilité d’une grossesse, un fibrome ou un polype situé au niveau du vagin, prise de médicaments (comme des anticoagulants par exemple), la pause d’un stérilets (en général les stérilet en cuivre sont responsables de règles trop abondantes), une lésion de l’utérus (comme l’Endométriose), ou il peut s’agir parfois d’une anomalie de coagulation ou d’une infection génitale.

  • la conséquence de règles trop abondante est en général, la gène que cela peut occasionner, principalement lors de déplacement long sans possibilité d’intimité. Ou la « surprise » d’avoir ces règles une semaine avant le jour attendu.
  • Les règles trop faibles:

    (oligoménorrhées) : si c’est une fois de façon non répétée, cela peut être un incident isolé, par contre, si cela revient plusieurs mois d’affilés, et accompagné de douleur, il est alors conseillé de consulté un spécialiste pour en connaître la raison. Même si cela peut sembler avantageux d’avoir des règles peu abondantes, cela reste anormal. Il peut s’agir : d’un début de grossesse, de dérèglements hormonaux, la suite d’un accouchement ou d’un IVG, une anorexie mentale (assez fréquente chez les jeunes filles), certaines maladie peuvent aussi en être la cause (insuffisance hypophysaire, hyperthyroïde ou son contraire : l’hypothyroïde). Le plus souvent, les causes sont plutôt psychologiques (le stress, choc émotionnel ….).

  • Les irrégularités dans la fréquences des règles:

    n’a pas forcément de causes pathologique. En effet cela peut venir de notre style de vie, comme par exemple : faire trop d’exercice, le surpoids : qui peut aussi provoquer une Endométriose ou encore un cancer de l’endomètre, si vous êtes en surpoids et que vos règles sont irrégulières, que ce soit dans la fréquence ou dans le flux sanguin, il est alors préférable d’en parler à son médecin. Les traitements hormonaux peuvent aussi jouer sur la fréquence des menstruations, le manque de sommeil mais aussi les voyages sur de la longue distance et réguliers peuvent provoquer une dérèglement (changer de continent régulièrement, le décalage horaire …)

  • Pour les règles trop longues:

    En général la ménopause et la puberté peuvent expliquer ces dérèglements. La cause d’une ménorragie (règles trop longue) peut être organique (fibromes de l’utérus, polypes, Endométriose) ou fonctionnelle (déséquilibre hormonale, prise de traitement hormonale).

Traitements : 

Le traitement donné par le médecin, ou spécialiste, dépend généralement de la cause : organique, générale ou fonctionnelle.

s’il n’y a pas de cause organique (tumeur ou inflammation) un traitement hormonal peut être présenté, à condition que la patiente ne souhaite pas avoir d’enfant à ce moment là. On peut aussi avoir recours à des médicaments à base de plantes (phytothérapie).

Il est aussi intéressant de se penser sur les traitements sans intervention de prise de médicaments, comme la relaxation, le yoga, ou encore un changement d’alimentation : une alimentation plus équilibrée !

Traitement par la médecine chinoise : 

Sites utilisé pour cet article :

https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9norragie

https://www.topsante.com/medecine/gyneco/amenorrhee/regles-irregulieres-5-raisons-auxquelles-on-ne-pense-pas-76463

http://www.docteurclic.com/symptome/oligomenorrhees.aspx#p2

http://www.santemagazine.fr/menorragies-quand-les-regles-deviennent-trop-abondantes-29920.html

http://www.santeweb.ch/santeweb/Maladies/khb.php?Troubles_des_regles_troubles_du_cycle_menstruel&khb_lng_id=2&khb_content_id=9517

http://www.psychologies.com/Dico-Sexo/Menstruations-ou-regles

http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_1151_tb_regles.htm#causes-et-facteurs-de-risque

Cette page est dédiée aux :

  • Maux de têtes
  • Céphalées
  • Migraines

Problématique : De nos jours une large partie de la population est sujettes à des Maux de têtes chroniques. Elles se déclenchent à n’importe quelles heures du jour ou de la nuit.

Céphalées

Les maux de tête (céphalées) sont des douleurs très courantes ressenties au niveau de la boîte crânienne. Il existe plusieurs types de maux de tête, dont la très grande majorité se présente sous les syndromes suivants :

  • Les céphalées de tension englobent aussi les céphalées chroniques quotidiennes.
  • Les migraines.
  • L’algie vasculaire de la face.
  • Les céphalées dues à un problème ORL, type sinusite

Définition du mot algie : L’algie est la notion de douleur localisée, régionale, ou concernant les viscères indépendamment de sa cause.

Définition d’une céphalées de tension : La douleur est lancinante, sans localisation précise, d’intensité modérée, non pulsatile. Elle donne notamment la sensation d’une pesanteur ou d’un enserrement.

Définition d’une migraine : Une crise commence souvent par une douleur ressentie d’un seul côté de la tête ou localisée près d’un œil. Cette algie est souvent perçue comme des pulsations dans la boîte crânienne, et elle est aggravée par la lumière et le bruit et parfois, aussi, les odeurs. Elle peut aussi s’accompagner de nausées et de vomissements.

Définition d’une algie vasculaire : elle affecte un seul côté de la tête et peut-être très douloureuse. Elle peut, par exemple, troubler le sommeil et/ou provoquer une inflammation de l’œil ou des sinus.

Explication :

Les céphalées dues à un problème ORL (type sinusite) surviennent parfois après une infection des voies respiratoires supérieures (notamment lié à des problèmes de congestion ou d’écoulement nasal). Les céphalées de la sinusite dépendent de bactéries qui infectent donc les sinus.

Maux de tête d’un homme au rayon X

Les causes sont multiples :

  • le stress
  • une mauvaise posture
  • le plissement des yeux pour lire
  • une lumière vive
  • Les changements hormonaux accompagnant ainsi le cycle féminin
  • la fatigue
  • Les muscles contractés du cuir chevelu, du cou et du visage
  • les pathologies ORL
  • la consommation de boissons alcoolisées
  • l’excès ou l’arrêt brusque d’une consommation de café
  • des lunettes mal adaptées ou une absence de lunettes
  • le bruit
  • les abus d’antalgiques
  • les facteurs météorologiques (changement de pression, humidité)

Hypothèses…

  1. L’énergétique chinoise voit ces symptômes comme un dysfonctionnement des méridiens de la vésicule biliaire et de la Vessie. Ces 2 méridiens enserrent la tête tel un casque. Aussi, la régulation de ces algies se fera au regard de points spécifiques et des organes associés. Certaines personnes ont déjà eu des maux de tête après un repas trop « riche ». L’énergie de la VB se bloque à la tête. Donc, la moitié des problèmes vient de blocage ou de non transformation de l’énergie du foie. Le sang utérin dépendant du sang veineux on comprend aisément que le foie, par sa position physiologique en relation avec la veine cave, soit utilisé en énergétique chinoise dans tous les problèmes affiliés à la sphère sexuelle. D’où l’explication de maux de tête durant le cycle, dissociation YIN/YANG de l’énergie du bois (ndl : le yin du bois= le sang). Vous l’aurez compris le reste dépend du méridien de vessie.
  2. Si ces maux de tête s’accompagnent d’une vision floue, de nausées, de vomissements, de confusions ou de somnolence, ou de douleurs violentes qui surviennent brusquement. Consultez votre médecin au plus vite pour savoir si il n’y a pas un autre souci, en définitive, plus critique.

Solution :

Possibilité de régulation par :

  • la médecine chinoise
  • l’acupuncture
  • l’hypnothérapie
  • la complémentation en oligoéléments
  • la nutrithérapie
  • la phytothérapie (nettoyage du foie)

Sites utilisés pour la rédaction de cet article :

www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_796_cephalees.htm
sante.lefigaro.fr/sante/symptome/maux-tete/quelles-causes
www.vulgaris-medical.com/encyclopedie-medicale
www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes
www.axaprevention.fr/sante-bien-etre/sante-question/maux-de-tete-migraine
sante.canoe.ca/condition_info_details.asp?disease_id=67
sante.canoe.ca

Parlons maintenant d’un des problèmes majeurs de notre société, le STRESS

Les symptômes sont :

  • Physiques
    • Problèmes musculaires
    • Problèmes digestifs
    • Perte d’appétit
    • Maux de tête
  • Comportementaux
    • la négativité constante face à la réalité
    • l’absence d’organisation
    • l’isolement
    • l’abus de télévision ou de jeux vidéos
    • la consommation accrue aux addictions (tabac, café, sucre, alcool…)
  • émotionnels et mentaux
    • l’agitation
    • l’irritation
    • l’anxiété
    • la mélancolie
    • la baisse de libido
    • la faible estime de soi

Tester votre stress en ligne sur www.mes15minutes.com

Les différents types :

C’est avant tout une réaction normale de notre organisme. Une dose normale, dynamisante et journalière ne doit pas excéder 5 min par jour. Celui-ci contribue à stimuler l’organisme par la production d’hormones et l’acuité des sens.

Cependant un stress prolongé (ou chronique) induit un état permanent d’anxiété, des crampes contractures et/ou des spasmes organiques profonds. Cela peut influencer le sommeil et les comportements relationnels.

Lors d’un stress violent et temporaire comme un accident de voiture, la mort d’un parent ou un choc émotionnel soudain, on parle de stress aigu.

Point de vu perso…

On the other side (as Jeff could say…)
D’un autre coté qu’est ce que le stress si ce n’est une tension latente et chronique qui s’insère en nos muscles et s’incruste tel un programme dans notre système nerveux. Si on considère que nous sommes un amas de cellules et que ces cellules sont regroupées suivant leurs fonctions :

  • OS
  • Muscles
  • Sang
  • Organes/Viscères

Pourquoi le stress ne serait-il que musculaire?

La recherche académique utilise un stress mitochondriale (ou cellulaire) pour générer des terrains expérimentaux pathogènes. Le stress que nous nous induisons va donc s’immiscer dans nos muscles et tendons. Cela produira plus de toxines et déchets dans le sang et modifiera la structure osseuse par la répercussion des tensions musculaires.

Au final le réel travail revient à casser les schèmes mentaux de l’anxiété et des habitudes anxiogènes. A se forcer à sourire et prendre du plaisir à vivre pour réamorcer la machine… reprogrammer le système nerveux.

Il était une fois sur le fronton du temple de DELPHES écrit cette maxime :

« Connais toi toi-même et tu connaitras les secrets de l’univers. »

Solution :

Possibilité de régulation par :

  • la médecine chinoise
  • l’acupuncture
  • la sophrologie
  • l’hypnothérapie
  • les massages bien-être et/sauna
  • psychothérapie

Sites utilisés pour la rédaction de cet article  :

Définition de l’Endométriose:

Pour comprendre l’Endométriose, définissons d’abord l’endomètre : c’est le tissu qui tapisse l’utérus, ce dernier s’épaissit au cours du cycle sous l’effet des hormones pour une éventuelle grossesse, s’il n’y a pas de fécondation, le tissu se désagrège et se met à saigner (ce sont les règles).

Chez la femme atteinte d’endométriose, un tissu semblable au tissu endométriale va se former en dehors de l’utérus et créer de ce fait des lésions, des adhérences et des kystes ovariens dans les organes touchés.

Les organes touchés sont plus souvent :

-les ovaires

-les trompes de Fallope

-les ligaments soutenant l’utérus

-la surface extérieur de l’utérus

Toutefois, dans des cas plus rare, on peut voir cette formation sur les organes proche de l’utérus : comme les intestins, la vessie ou encore les reins.

Les poumons, les bras ou les cuisses peuvent aussi être atteins dans des cas exceptionnel.

Prévalence:

Environ 3 à 10% de la population féminine en âge de procréer est touchée, 90% étant des formes minimes, toutefois, elle ne sont pas toujours symptomatiques.

La découverte de la maladie se fait entre 25 et 40 ans, suite à des douleurs anormal dans le bas-ventre ou encore un problème d’infertilité.

30 à 40 % des femmes atteintes d’endométriose son infertiles.

Les femmes n’ayant jamais eu d’enfants, ayant une parente proche atteinte de la même maladie ou encore celles atteintes d’une malformation qui rétrécit le col de l’utérus (ce qui entrave l’évacuation du flot menstruel); font alors parties des personnes les plus à risques.

Symptômes:

Les symptômes sont variables d’une femme à l’autre. Dans les symptômes visibles de l’extérieur ont peut voir :

  • Douleurs dans les bas-ventre
  • Changements dans le cycle
  • Règles anormalement douloureuses
  • Saignements très abondants au cours des règles
  • Saignements dans les urines
  • Rapports sexuel douloureux (souvent dus à la formation de kystes ou de tissus cicatriciels qui se forment au niveau du vagin)
  • Troubles digestifs (constipation, diarrhée)
  • Une fatigue chronique
  • L’infertilité

Bien que certaines femmes n’ont aucun de ces symptômes, la maladie n’est pas moins grave pour autant. Dans ces cas, la maladie est décelées lors d’un examen médical.

Diagnostic:

Le diagnostic de cette maladie est généralement long (8 à 10 ans entre les premiers symptômes et la confirmation de la maladie).

Le médecin va d’abord s’informer sur les antécédents médicaux de la patiente et un examen gynécologique, de préférence au cours du cycle menstruel. Dans le cas ou l’examen gynécologique est normal, le spécialiste peut alors décider de prescrire certains examens complémentaires afin d’affiner son diagnostic.

Ces examens sont en général :

– une échographie pelvienne (pratiquée en générale par voie endovaginale, ce qui permet d’obtenir des images de meilleures qualité)

– une IRM (pour repérer d’éventuelles lésions profonde et de définir leur nombre)

– une cœlioscopie (pour explorer la cavité pelvienne et abdominale)

La laparoscopie peut aussi être employée. Le spécialiste effectue une incision proche du nombril pour y faire passer un tube (le laparoscope). Ainsi il observe l’endométriose en surface. Dans certain cas il prélève un échantillon de tissu endométrial pour l’analyser et confirmer le diagnostic.

Traitements possibles:

Médecine conventionnelle :

  • Chirurgie laparoscopique
  • prise de médicaments (anti-inflammatoires non stéroïdiens)
  • Hystérectomie et ovariectomie complète (pour les femmes plus âgées et ne souhaitant pas d’enfants)

Médecine chinoise :

Sites utilisés :

http://www.endofrance.org/definition-de-lendometriose/

http://franco-argentine/wp-content/uploads/2014/03/lexamen-clinique-dans-le-cadre-de-lendometriose-JV.pdf

http://santecheznous.com/condition/getcondition/endometriose

http://www.ameli-sante.fr/endometriose/endometriose-symptomes-diagnostic-et-evolution.html

http://www.doctissimo.fr/sante/gynecologie/endometriose/traitement-endometriose

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